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 Enjoy the silence ♥ 06.10.2068 - Salle de classe vide

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Fiona - Admin
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MessageSujet: Enjoy the silence ♥ 06.10.2068 - Salle de classe vide   Enjoy the silence ♥ 06.10.2068 - Salle de classe vide EmptySam 21 Mar 2015 - 16:41

Sincèrement, quelle idée saugrenue ! Pourquoi je me suis mis en tête de faire ça, hein ? Réponse : j'en sais absolument rien. J'ai trouvé que ça serait joli. J'ai dû voir un truc dans le genre dans un défilé ou un magazine quelconque. Et maintenant, je galère. Déjà, la robe, c'était pas l'idée du siècle, mais au moins la mousseline dissimulait les imperfections de ma couture - que je reprenais presque tous les jours soit dit en passant. Mais ça...

Ca, ça n'est rien d'autre que de la dentelle, que je m'efforce de fabriquer à la main, comme une parfaite moldue. Et la minutie, je l'ai, c'est pas le souci... Le souci, c'est que ça me prend un temps fou, et que je ne suis jamais satisfaite du résultat. Ca n'est jamais aussi bien que dans ma tête, il faut avouer, mais en même temps, c'est la première fois que je m'essaie à ce genre d'ouvrage.

Un ouvrage qui consiste précisément à confectionner, crocheter, cette dentelle noire, qui me servira ensuite de masque pour le bal d'Halloween. Pas que je courre particulièrement après cette fête, mais je fais partie du personnel, donc je dois montrer l'exemple. Et oui, j'aurais pu faire plus simple mais... mais non. Des idées bizarres quand ça concerne ce genre de choses, il faut croire que j'en ai à la pelle. Je me suis dit que je pourrais sans doute faire aussi des mitaines pour aller avec, faire un rappel et contraster avec la clarté de la robe. Medee, t'es vraiment complètement folle, tu le sais, ça ?

Non parce que vraiment, je ne dois pas être complètement saine d'esprit parfois parce que bon, que je l'ai toujours avec moi, c'est une chose, mais que ça m'ait pris, là, comme ça, une envie soudaine, de recommencer un motif alors que je redescendais des tours après avoir été apporter un de mes thés en salle des professeurs, c'était encore autre chose.

Je suis complètement tarée, c'est réellement tout ce que je pense à cet instant. Je me suis enfermée dans une salle de classe vide et poussiéreuse. D'un ou deux sorts rapides, j'ai fait un peu de ménage, et je me suis attelée à la tâche... Sans faire attention que la porte de cette fichue salle ne se fermait pas tout à fait correctement et qu'elle se rouvrait toute seule, alors que j'étais captivée par mon travail...

Et évidemment, il fallait bien que quelqu'un passe par là à cet instant, sinon ce n'était pas drôle...

***

Seth se promenait dans les couloirs sans fin de Poudlard. Sans fin était un peu fort, soit, mais ça exprimait bien son impression de tourner en rond. Allez savoir pourquoi mais aujourd'hui il ne savait pas quoi faire pour s'occuper et rien ne lui faisait envie. Il y a des jours comme ça. De toute façon il était toujours morose en cette période. Il s'était marié avec Ellie un 15 octobre, souvenir à la fois enivrant et douloureux...

Soupirant, il arriva près de la classe vide. Pourquoi gardait on cette salle ainsi ? Elle était déjà vide à l'époque où il était étudiant, curieux tout de même, non ?
A cet instant cependant elle n'était pas inoccupée. Si un élève trainait par là, à faire quelque méfait, ça lui donnerait l'occasion de passer le temps. Il fit quelques pas en arrière et se planta devant la porte entre ouverte. Il observa un moment pour savoir à qui il avait à faire et ce que la personne faisait. Dans le doute, il sortit sa baguette. Parano Bloodshire ? Oui toujours, même plus que jamais.
Mais ce n'était que Médée qui semblait s'adonner à une tâche bien minutieuse.

Seth entra dans la pièce et se racla la gorge pour annoncer sa présence. Il savait que la jeune femme discrète avait toujours aimé la solitude et qu'il la dérangerait sûrement mais après tout, il y avait meilleur endroit pour ne pas être interrompu. Il était trop curieux de savoir ce qu'elle faisait pour faire comme s'il ne l'avait pas vu de toute façon.

« Tu as l'air bien occupée... Couture ? » demanda-t-il en voyant une partie de ce qu'elle faisait.

Soudain il se demanda si c'était une bonne idée de tomber sur elle alors qu'il ne cessait de penser à Ellie. Elles se connaissaient, elles avaient même été proches. Depuis son arrivée à Poudlard ils avaient évité le sujet mais le pourraient ils toujours ?

***


Si on m’avait dit que ça allait se passer comme ça, je ne l’aurais d’abord pas cru, et puis, surtout, j’aurais tout fait pour que ça n’arrive pas. A cet instant, je n’avais clairement absolument pas envie d’être surprise par qui que ce soit, et peut-être encore moins par lui. Seth. Un ami d’enfance ou presque. J’étais plus proche d’Ellie et pour cause, nous étions de la même maison et elle me faisait… moins peur que lui. Mais il n’empêchait qu’il faisait partie des rares personnes que j’avais considérées comme amies, fut un temps. Aujourd’hui ? Je dois bien avouer que je n’en sais rien, comme je suis incapable, à vrai dire de qualifier qui que ce soit d’ami. J’ai peur en permanence, et je ne sais vraiment plus à qui je peux accorder ma confiance. Il n’empêche que malgré toutes mes réticences, il fait partie des rares personnes vers lesquelles je serai plus encline à aller, si tant était que j’allais réellement vers qui que ce soit.

En l’occurrence, j’étais tellement prise par mon ouvrage, et concentrée, que lorsqu’il était entré et s’était raclé la gorge pour annoncer sa présence, c’est un cri de belette qui l’accueillit, de même que le sursaut et l’air hagard sur mon visage comme je relevais les yeux, terrifiés, vers l’origine de ce bruit soudain brisant le silence dans lequel j’évoluais depuis quelques instants. Premier réflexe idiot : cacher ce sur quoi j’étais en train de travailler. Réflexe parfaitement débile et inutile parce qu’il avait très certainement déjà eu tout le loisir d’observer mes faits et gestes avant que je remarque sa présente.

« Tu as l'air bien occupée... Couture ?
- Non. Enfin pas loin. C’est de la dentelle… Enfin c’est censé. »

De la dentelle noire dont le résultat ne me plaisait toujours pas. Et j’aurais clairement préféré que personne ne soit jamais témoin de mes tentatives médiocres, mais manifestement, ça n’était pas fait pour se passer comme je voulais.

« Je… Euh… Y a toujours du monde ou au moins mon collègue à l’infirmerie et… »

Et je suis ridicule. Ca n’est pas complètement un mensonge, cela dit. La plupart du temps, je repousse l’ouvrage parce qu’il y a un élève, ou parce que Cyan observe mes faits et gestes et que je ne veux pas parler de tout ça. N’empêche que là, à cacher mon « forfait » et à rougir parce que je viens d’être surprise, je suis parfaitement ridicule. On parle d’autre chose ?

« Tu… Euh… Comment tu vas ? »

Ca aurait été vachement mieux si j’avais réussi à croiser son regard… Ca aurait sonné moins faux, sans doute. Une fois encore, pourtant, j’attends vraiment sa réponse. Je ne dis rien, mais ça n’est pas pour autant que je ne sais pas quelle date approche. Et je me doute que ça ne doit pas être très facile pour lui. Ma relation avec Ellie était plus légère, et ça n’est pas moi qui ai uni ma vie à la sienne le 15 octobre. Il n’empêche que j’y pense quand même. Alors j’imagine bien que pour lui, ça doit être une période difficile. Pour autant, je m’attends à une réponse neutre, évasive. Depuis qu’elle est partie, nous ne nous sommes pas vraiment adressé la parole. J’ai tenté difficilement d’apporter mon soutien lorsque j’ai appris la nouvelle et n’ai obtenu aucune réponse, je crois que le message est clair. De même que depuis les quelques semaines où nous avons fait notre rentrée ici ensemble, nos contacts sont restés purement professionnels et on ne peut plus bref. Ca n’empêche que je voudrais pouvoir le soutenir. Mais comment on fait ça, quand la personne en question refuse notre aide ?

***

Médée fut plus que surprise vu le petit cri qui s 'échappa de sa gorge quand Seth signala sa présence. Le regard qu'elle tourna vers lui était terrifié. Il ne s'était pas attendu à une telle réaction. Elle cacha aussitôt ce qu'elle faisait mais il avait eu le temps d'en voir un bout. Elle n'avait pas l'air satisfaite de ce qu'elle faisait vu comme elle parlait de son travail. Il ne releva pas, il n'y connaissait rien. Il n'avait pas non plus vu donc il n'allait pas faire comme tous ses gens faux qui vous assurent que vous êtes formidable quand bien même vous étiez pire que minable.
Il l'écouta limite s'excuser d'être présente ici et sourit.

« Je ne t'ai pas demandé de te justifier, tu as le droit d'être là. Mais si tu veux être seule, je te conseillerais plutôt de faire ça dans tes appartements ou la salle sur demande par exemple. »

Elle rougit et lui demanda comment il allait. Une question si banale à laquelle on presque répond toujours positivement, même quand c'est faux. Difficile d'étaler sa vie de but en blanc, et puis, qui s'en souciait réllement ? Médée, peut être. Après tout elle avait connu Ellie, elles avaient été relativement proches. Lui manquait elle aussi ?

« On fait aller. Et toi ?»

Il ne savait pas si elle se souvenait de la date; le contraire n'aurait pas été étonnant puisque ce n'était pas son mariage à elle. D'ailleurs il ne voyait pas d'alliance à son doigt. Elle semblait être toujours la jeune fille sauvage qu'il avait connu. Médée ne se laissait pas approcher. Il la soupçonnait de croire que vivre à part évitait les souffrances, ce qui était faux.

« Je ne savais pas que tu travaillais ici. Enfin, pas avant d'être embauché. Tu t'y plais ? »

Conversation neutre. Il n'était pas prêt de parler d'Ellie ou du passé tout simplement. Repartir sur de nouvelles bases, c'était mieux.

***

Je ne peux pas dire que j'étais ravie d'avoir de la compagnie à cet instant, mais tant que c'était lui, je me dis que c'était peut-être un moindre mal. Bon, je n'avais quand même pas prévu qu'on voie ce que je faisais, même si son sourire devant mes excuses minables était plutôt rassurant.

« Je ne t'ai pas demandé de te justifier, tu as le droit d'être là. Mais si tu veux être seule, je te conseillerais plutôt de faire ça dans tes appartements ou la salle sur demande par exemple. »

Je baisse le nez parce qu'évidemment, il a raison. Et le pire c'est que d'ordinaire, c'est effectivement dans mes appartements que je travaille sur mes petits ouvrages. Mais comment je peux expliquer que ça m'a pris d'un coup ? Je vais avoir l'air encore plus ridicule alors... je me tais. Lui demander comment il allait me semblait être une meilleure idée pour le coup. Ou en tout cas, un moyen comme un autre de détourner la conversation d'un sujet qui ne me met pas à l'aise. Bon, évidemment, si c'est pour le mettre lui dans l'embarras, ça n'est pas mieux, mais... Je suis vraiment intéressée par sa réponse, en réalité. Contrairement à la plupart des gens qui vont effectivement poser cette question machinalement, sans se soucier de la réponse qu'on leur apporte, moi je voudrais vraiment savoir. Même si je doute d'obtenir une réponse réellement sincère, au fond.

« On fait aller. Et toi ?
- Un peu de ça aussi. Je me doute que ça doit pas être la période la plus facile de l'année pour toi... »

Je ne suis pas celle qui me suis mariée, mais des amies, je n'en ai pas eu tant que ça, alors le mariage d'Ellie, non, je n'en ai pas oublié la date. Je me souviens m'être demandée si un jour, moi aussi je connaîtrais ça. Avant d'avoir songé que ça ne pouvait pas arriver, qui s'intéresserait à une fille comme moi ? Et puis il y a eu Amaranth et... ça, je préférais éviter d'y penser. C'était trop de souffrance, et j'essayais en effet de les éviter au maximum. J'ai eu mon lot, déjà, je crois. Alors peut-être que je ne m'y prends pas super bien, mais j'ai pas vraiment trouvé de meilleure solution pour l'instant.

« Je ne savais pas que tu travaillais ici. Enfin, pas avant d'être embauché. Tu t'y plais ?
- Je ne suis là que depuis l'année dernière, mais... oui. Je me sens... chez moi, étonnamment. »

Etonnamment parce que vu les souvenirs que je peux avoir ici, on pourrait s'attendre à ce que je mette le plus de distance possible entre Poudlard et moi et pourtant... Non. Ca reste un endroit connu, au final, j'ai mes marques ici, et ceux qui me tourmentaient ne sont plus là, finalement,

« Et toi ? Je ne savais pas non plus que envisageais une carrière professorale... »

Mais en même temps, je ne sais pas trop vers quoi il avait envisagé de diriger sa carrière professionnelle alors... Et puis... Avec ce qu'il s'est passé, c'est sans doute assez logique de changer de projets.

***

Médée avait tenté de cacher ce qu’elle faisait, un peu comme si c’était mal. Seth en fut surpris, d’autant plus qu’il ne s’agissait que de couture. Pourquoi s’en cacher ? Et pourquoi le faire ici si elle n’avait pas envie d’être surprise ou dérangée ? Les femmes sont curieuses parfois…
Elle lui révéla qu’il s’agissait de dentelle. L’espace d’un instant il imagina qu’elle confectionnait un dessous ou quelque chose pour séduire un homme. Ce qui aurait pu expliquer sa réaction. Elle ajouta qu’il y avait toujours du monde à l’infirmerie, comme si elle avait lu dans ses pensées concernant le choix du lieu. Il hocha la tête, signe qu’il voyait où elle voulait en venir. Elle rougit de gêne. Elle opta pour un autre sujet, lui demandant comment il allait. Ah la question qui tue. Devait il répondre en toute franchise ? Impossible. Jamais il ne ferait part de ses faiblesses, comme ça, de but en blanc. Seth était habitué à garder ses sentiments pour lui-même, Ellie avait été la première – et la seule – à le faire sortir de sa coquille. Aujourd’hui ce n’était plus une coquille mais une muraille qu’il avait dressé entre lui et le monde entier. Ky parvenait à se glisser entre les failles par moments, surtout quand l’alcool aidait en réalité. Il se contenta d’un on fait aller. Voilà, comme ça il ne mentait pas. Il coupait court à la conversation dans le même temps, il ne souhaitait pas s’étaler. Elle lui dit quand même qu’elle réalisait que ça ne devait pas être une période facile pour lui. S’il n’y avait que celle là… Mais peut être était ce la pire, en effet.

Ce fut à son tour de changer de sujet, pour évoquer le choix de carrière de Médée. Se plaisait elle ici ? Elle qui était si réservée, supportait elle l’effervescence de Poudlard ? Oui, elle se sentait chez elle. Il sourit, ça il comprenait. Curieusement, il se sentait un peu mieux depuis qu’il enseignait. Et pourtant personne ne l’attendait à ce poste.

« Je suis moi-même surpris je dois dire. Je ne l’avais pas forcément envisagé mais quand on m’a contacté pour le poste… j’ai été tenté. C’était ma matière préférée à l’époque et j’en avais un peu marre de courir partout. C’est une belle découverte. »

Des élèves passèrent en courant dans le couloir et il cru entendre parler de bombes à bouses. Il haussa un sourcil.

« J’adore retirer des points aussi. Je vais te laisser à ton ouvrage… On se voit plus tard ? »

***

J'ai bien vu son air surpris, mais je n'ai pas trop l'intention de m'expliquer... Expliquer mes réactions, ça reviendrait à détailler ce qui m'est arrivé, et c'est clairement la dernière chose que je souhaite. Je ne parle pas de tout ça, parce que je crois que ça me donne l'impression de le revivre encore. Tout ce que je veux, c'est oublier... même si ça ne fonctionne pas très bien. Et je crois que sur ce point, je ne suis pas la seule, ici...

Je suis devenue écarlate et on a changé de sujet, ce qui me convenait mieux mais... Manifestement pas à lui et au fond, je ne peux pas vraiment l'en blâmer. Sa réponse évasive ne laisse que peu de place au doute, et c'est à mon tour de hocher la tête de façon compréhensive. Ne nous attardons pas là-dessus, donc, j'ai compris.

On a évoqué notre choix de carrière - que peut-être personne n'aurait soupçonné pour l'un comme pour l'autre à l'origine - et qui nous amenait finalement à la même considération : on se sentait ici chez nous. Il ne l'a pas dit ouvertement, mais son sourire entendu lorsque je l'ai moi-même affirmé ne me laisse aucun doute à ce sujet. Home sweet home...

« Je suis moi-même surpris je dois dire. Je ne l’avais pas forcément envisagé mais quand on m’a contacté pour le poste… j’ai été tenté. C’était ma matière préférée à l’époque et j’en avais un peu marre de courir partout. C’est une belle découverte. »

J'ai souri à nouveau : son ton de voix, la façon dont il dit ça, on sent qu'il aime ça, et je trouve ça beau. J'ai toujours pensé que c'était un métier qu'on ne pouvait faire qu'avec passion, qu'il fallait aimer enseigner pour pouvoir réellement transmettre son savoir, et je suis convaincue que c'est le cas. Et puis je n'ai aucun doute quant à ses aptitudes disons techniques dans ce domaine-là non plus.

« J’adore retirer des points aussi. Je vais te laisser à ton ouvrage… On se voit plus tard ?
- Bien sûr... Je ne suis jamais longtemps bien loin de l'infirmerie de toute façon... »

Et c'est pas comme si on n'allait pas être à la même table au dîner, ni comme si j'avais l'intention de partir d'ici dans la minute, loin de là. Il s'est dirigé vers la porte et je crois que j'ai imaginé un instant la scène lorsqu'il attraperait les petits plaisantins qui venaient de passer dans le couloir. Ca m'a fait sourire, je crois que c'est exactement le genre de prof qu'on craignait à l'époque, mais qu'on admirait en même temps. Pour moi en tous les cas, ça ne fait pas l'ombre d'un doute qu'il est là où il devait être et quelque part, ça me fait du bien de savoir que c'est le cas, malgré tout le reste. Et puis, avant qu'il ne passe la porte, j'ai juste ajouté :

« Seth ?... Si jamais t'as besoin... de quoi que ce soit, tu sais où me trouver, hein ? »

A vrai dire, je n'attends pas vraiment de réponse, j'ai juste esquissé un sourire, fait un petit signe de la main et replongé le nez sur ma dentelle, l'air sceptique. Mouais... Pas sûr que j'arrive au résultat souhaité cette fois encore...
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