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 Myriam Mills - X-Men Origins

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MessageSujet: Myriam Mills - X-Men Origins   Myriam Mills - X-Men Origins EmptyJeu 28 Aoû 2008 - 0:36

Myriam Mills - X-Men Origins Myriam01

| | Identité | |


  • Prénom(s) : Myriam Alexandra
  • Nom : Mills
  • Surnom(s) : Mimi par ses parents, à éviter à présent sous peine de représailles...
  • Âge de votre personnage : 21 ans
  • Clan de votre personnage : Exilée

  • Description du ou des pouvoir(s) : Contrôle des ondes électromagnétiques hors rayons ionisants (ultraviolet, rayons X et γ) [+d'infos]
    Contrôle des ondes lumineuses visibles et infrarouge
    Meriem peut jouer sur l'intensité de la lumière, avec son corps et autour d'elle. En produire, bien sûr, donc éclairer une pièce sombre, ou produire un flash aveuglant, mais aussi absorber la lumière, donc "éteindre" une lampe (en fait, il s'agit plutôt d'intercepter les ondes lumineuses). La manipulation des ondes lumineuses peut également lui permettre de se rendre invisible : son corps renvoie alors les ondes lumineuses de ce qui l'entoure, dissimulant sa présence. Cela ne la rend pas intangible ni inaudible pour autant. Elle peut également 'brouiller les pistes' grâce au contrôle infrarouge, ce qui peut camoufler sa présence à une caméra de surveillance absorbant ces ondes ou au contraire, produire un leurre...

    Contrôle des micro-ondes
    On les appelle également rayons pénétrants. Outre le fait qu'elle puisse se servir de ses mains comme d'un micro-onde, elle peut aussi interférer, parasiter des communications téléphoniques ou câblées, puisque les mobiles et réseaux par câbles emploient ces ondes.

    Contrôle des ondes radio et radar
    Il s'agit là essentiellement de brouiller des télécommunications, des transmissions d'informations. Sur un poste radio, une télévision, un radar... tout récepteur captant ces ondes qu'elle peut moduler à sa guise. Cela signifie aussi qu'elle peut utiliser un ordinateur et un micro pour envoyer un message sur le canal qu'elle souhaite... mais pourquoi voudrait-elle passer un message et à qui d'abord ?

  • Aptitude(s) : Avant la prise de dytentrine, Myriam était dotée d'une mémoire photographique qui faisait sa fierté. Aujourd'hui, la "maladie" l'empêche de se concentrer et perturbe ses souvenirs, si bien qu'elle peut complètement oublier ce qu'elle vient de lire ou d'entendre, et même des pans entiers de son passé.

  • Arme(s) : Paranoïaque, Myriam ne se déplace jamais sans un revolver dissimulé sous sa veste. On ne sait jamais, il y a tellement de monde qui en veut à sa peau...


| | Description morphologique & mentale | |


  • Description physique : Il y a quelque chose de dérangeant chez Myriam, et ce n'est pas seulement son goût pour les peintures faciales colorées, les vêtements tape-à-l'oeil et pour le moins osés. Son regard vert d'eau laisse entrevoir ce qui se trame dans son cerveau quelque peu perturbé, et peut d'un instant à l'autre passer des brumes les plus opaques, comme si elle était complètement absente, à une avidité évidente, qui mêle désir de séduction et haine farouche des autres. Ou peut-être est-ce de la peur qu'elle change en colère pour ne pas la laisser paraître ?
    Elle a pourtant un joli visage, et une peau de pêche sans doute héréditaire, qui aurait pu lui donner l'air doux, si ses prunelles n'avaient été aussi... étranges. Un nez droit, une bouche pulpeuse à la moue boudeuse... Il y a fort à parier qu'elle avait tout de la petite poupée, de la douceur incarnée... avant. Ses cheveux châtain retombent sur ses épaules, mais tout comme son visage qui se pare de couleurs diverses et variées au gré de ses humeurs, elle peut tout aussi bien décider du jour au lendemain d'arborer une coupe courte et méchée de bleu, un carré blond ou de rajouter des mèches pour revenir à la longueur qu'elle a raccourcie la semaine d'avant...
    Plutôt grande pour une jeune femme, elle toisait déjà sa cadette à l'adolescence, et a terminé sa croissance en avoisinant le mètre quatre vingt. Longiligne, guère musclée, on lui a souvent demandé si elle avait été mannequin, ce qu'elle refuse obstinément : d'abord parce qu'elle avait voulu faire carrière de l'autre côté de la barrière, en habillant et maquillant les modèles plutôt qu'en défilant à leurs côtés, et puis parce que maintenant, elle considère cette position comme trop dangereuse. Ce serait trop risqu" d'être la cible des photographes, qui sait ce qui pourrait arriver. Son seul regret est de n'avoir pas plus de poitrine pour féminiser davantage sa silhouette un peu trop élancée...



  • Description psychologique : Difficile de décrire la psychologie de la jeune femme en quelques mots, si ce n'est en parlant de son "handicap". La schizophrénie qui s'est déclarée avec la prise de dytentrine est sans doute ce qu'il y a de plus caractéristique. Outre des troubles de la mémoire et de concentration - il n'est pas rare de la voir "absente" plusieurs minutes et puis revenir à la réalité subitement, ce qui lui demande aussi un temps d'adaptation - il est évident qu'elle est incapable de s'organiser. En témoignent ses affaires, peu ordonnées, et sa manie de toujours fouiller partout, comme si elle était à la recherche de quelque chose, dès qu'elle doit s'atteler à une tâche - astucieux système pour masquer le fait qu'elle ne sache plus toujours bien dans quel ordre faire telle ou telle chose...
    Irritable et peu sociable, Myriam a tendance à s'isoler au maximum, à ne garder de contacts humains que lorsque c'est nécessaire. Et ceux qui tentent d'y contrevenir le font à leurs risques et périls, car, véritable tigresse, elle ne supporte pas qu'on vienne l'importuner. Ce qui est surtout dû au fait qu'elle est persuadée qu'on cherche à l'éliminer - elle entend bien souvent les commentaires d'une petite voix qui lui souffle qu'untel l'observe, sans doute pour trouver un moyen de l'approcher, que tel autre a murmuré quelque chose à son voisin à son encontre... - et donc que ceux qui l'approchent ne cherchent à gagner sa confiance que pour mieux parvenir à leurs fins : la tuer. D'ailleurs, elle reste constamment cloîtrée dans le noir, et vérifie systématiquement que toutes les ouvertures sont bien verrouillées dès qu'elle retrouve ses quartiers...
    Pourtant si elle cherche bien, Myriam n'a pas toujours été comme ça, et parfois, son ancien caractère refait surface (bien vite rabroué par la petite voix qui lui rappelle combien les gens en veulent à sa vie). Certes, elle n'a jamais été très sociable, et a toujours plutôt eu tendance à rester à l'écart, mais fût un temps où elle avait une certaine joie de vivre. Pas aussi expansive que celle de sa soeur, communicative, dont elle était d'ailleurs jalouse, mais il y avait une fraîcheur dans son regard, une insouciance qu'on ne retrouve plus ou peut-être seulement parfois, lors de certaines absences...


| | Histoire | |


  • Votre histoire : De son enfance, elle ne se rappelle que certains passages. Des jeux avec les jumeaux, de la naissance de sa cadette, qui accaparait l'attention de maman, de papa dans son bureau, occupé à écrire ses articles, des allers et retours de maman, entre deux avions... Ce qui l'a le plus marquée, et qui reste encore ancré dans sa mémoire malgré les pertes de souvenirs qu'elle subit régulièrement, ce sont les attentions de tout le monde pour Kathaleen, la petite fille si pleine de vie sur laquelle elle aurait dû prendre exemple. Et pourquoi ne passait-elle pas plus de temps avec sa cadette ? Aussi loin qu'elle se souvienne, elle n'a jamais vraiment eu de bon rapport avec elle, et n'a à ce jour aucun véritablement bon souvenir avec la mentaliste. Mais ses souvenirs sont quelques peu diffus à présent, alors commençons par le commencement.

    Myriam est née il y a vingt-et-un an, dans une famille sans grande histoire, comme il en existe beaucoup d'autres de par le monde. Une confortable maison dans le Michigan, un père très présent, bien davantage que leur mère, trop souvent en déplacement, et bientôt, deux frères cadets, puis une petite dernière, pour laquelle elle voulut très vite être la grande soeur modèle. Pendant les premières années, comme tout ce qui touche à la nouveauté, c'était drôle de s'occuper du bébé, d'être la grande. Même si les seuls tâches qu'on lui octroyaient consistaient en lui ramasser sa tétine, ou aller chercher le bavoir ou la boîte de lingettes... Bien vite pourtant, trop vite, au goût de l'aînée, être la plus grande devint un fardeau. Non, tu ne pleures pas, tu es une grande fille maintenant, ça n'est plus de ton âge ces enfantillages. Non, ce manège-là, ce jouet-là, c'est pour les petits. Tu vois bien que je suis occupé avec la petite ? A ton âge, tu peux te débrouiller toute seule. Sois une gentille fille, n'embête pas maman pendant qu'elle donne le biberon à Kath... Des phrases que tous les parents ont dit un jour à leurs enfants, sans imaginer les répercussions qu'elles pourraient avoir, bien des années plus tard.

    Car Myriam n'a rien dit, pendant toutes ces années où on encensait la vivacité de sa cadette, ses sourires lumineux, son entrain. Oh certes, on lui reprochait parfois de n'en faire pas davantage à l'école où elle se contentait de vivoter, mais c'était manifestement bénin. L'aînée se devait d'être irréprochable, semblait-il. On interrogerait leurs parents, sans doute se récrieraient-ils d'avoir jamais fait tant de différence entre leurs deux filles, pourtant, c'est ainsi que la plus grande l'a ressenti. Une note moyenne, et les sanctions tombaient. Non pas privée de sortie avec les copines, ils savaient bien que ça ne servirait à rien, tant l'adolescente était timide, mais privée de tout ce qui lui tenait déjà à coeur, à savoir la mode... Fini dans ce cas les retransmissions de défilés, fini les essayages de maquillage, fini les heures de couture pour confectionner des robes aux poupées... Tout était mis son clef. Alors pas question. Et c'était effectivement là ce qui lui importait le plus, et depuis toute petite déjà. Quand Kath jouait au papa et à la maman avec ses poupées, Mimi laissait les siennes bien sagement alignées sur la commode. Mais loin de les négliger, elle en prenait au contraire le plus grand soin et les paraît de tenues plus excentriques les unes que les autres. La première fois que maman l'avait vue couper les cheveux de l'une d'elle, elle s'était affolée, comme si elle avait pu faire du mal à un jouet. Pourtant, quand elle avait vu le résultat auquel elle était parvenue en cachette, elle n'avait plus rien dit. Ni au sujet des coupes, ni au sujet de la peinture dont elle ornait leurs visages synthétiques. "On dirait les mannequins des défilés", avait soufflé une tante éloignée, une fois. Et c'était vrai. Dès qu'elle pouvait voir un défilé, ses poupées en semblaient tout droit sorties, quelques jours après.

    Elle n'aurait pas cru que cela fût si étonnant lorsqu'elle répondit qu'elle voulait être coiffeuse, maquilleuse ou couturière à l'adolescence. De nature discrète, elle n'était pas du genre à se mettre en avant, même si, malheureusement pour elle, sa silhouette n'eut de cesse de s'allonger. Et les railleries de ses camarades sur sa tailler de girafe, ses jambes de bécasses ou son air de grande asperge n'aidèrent pas vraiment à la décomplexer. Il y eut pourtant plusieurs fois des photographes ou des agences de mannequins qui la sollicitèrent pour poser. Mais elle déclinait, trop réservée pour s'imaginer, elle, sous les feux des projecteurs. Et puis elle ne voulait pas être de ce côté-là de la barrière, elle voulait travailler derrière le rideau. C'était sans compter le bon vouloir parental. Elle fut forcée de choisir des matières plus classiques, pour apprendre un "vrai métier". Et là encore, pas question de se laisser aller, sous peine d'être encore et toujours privée de ce qui lui plaisait.

    Quand on commença à parler des mutants, du vaccin, et de la possibilité de devenir comme eux, le ton fut vite donné à la maison : les mutants faisaient peur, mieux valait s'en tenir éloignés. Là encore, Myriam garda le silence, mais secrètement, elle admirait ceux qui pouvaient faire des choses exceptionnelles, qu'elle ne pourrait sans doute jamais faire, elle. Et quand ce fut la petite dernière qui développa ces pouvoirs, l'admiration pour ces mutants et la jalousie qu'elle ressentait depuis bien longtemps déjà à l'égard de sa cadette se mêlèrent étrangement. Aussi quand Kath finit par partir, une partie d'elle en fut soulagée, heureuse même, d'être débarrassée de celle qui lui faisait de l'ombre. Mais une autre part d'elle-même, au contraire, se trouvait frustrée d'être loin de l'objet de son admiration, et de ne pas faire partie de cette caste. Il lui fallut un moment avant de se décider, mais finalement, elle quitta la maison à son tour, et chercha le moyen de devenir comme sa soeur...


Dernière édition par Fiona - Admin le Mer 27 Jan 2016 - 14:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Myriam Mills - X-Men Origins   Myriam Mills - X-Men Origins EmptyJeu 28 Aoû 2008 - 0:36

| | Exemple de rp | |


  • Exemple de rp : Malgré sa mémoire qui avait la fâcheuse tendance à se transformer en gruyère, ces derniers temps, il y a un souvenir qui restait omniprésent. Ce matin-là, Kath n'était pas encore levée. Elle si. Enfin... Elle était assise sur son lit, à penser à plein de choses, elle ne sait plus trop à quoi, mais c'était dans ses habitudes de réfléchir sur beaucoup de sujets, plus ou moins importants, le matin, quand personne ne pouvait la déranger. Elle ne sait plus de quoi il s'agissait, mais Kath avait ressorti textuellement la phrase qu'elle venait de formuler en pensée. Evidemment, la surprise et la crainte s'étaient aussitôt emparés du coeur de l'adolescente. Et puis bien vite, une jalousie nouvelle avait commencé à brûler au fond d'elle. Pourquoi elle ? Pourquoi était-ce toujours elle qui attirait l'attention ? Et qui semait la crainte au sein de toute la famille aussi. Maman et papa étaient devenus plus distants, pas seulement avec elle, avec eux tous. Déjà que Myriam n'était pas spécialement expansive et qu'ils le lui rendaient bien, voilà que par sa faute, ils s'éloignaient davantage d'elle.
    Ah ! Qu'elle avait été contente quand elle avait finie par être mise à la porte ! Débarrassée d'elle, elle pensait pouvoir retrouver sa famille, comme avant. Vain espoir. Et bien vite elle dut se rendre à l'évidence : jamais plus ça ne serait comme avant, et même s'ils l'avaient chassée, souvent, maman et papa parlaient d'elle, encore et encore. Si seulement elle n'avait pas eu cette tare... Cette tare... Ils se rendaient compte quand même, de ce qu'elle pouvait faire ? Lire les pensées, ressentir ce que les autres ressentent, comme cette fois où les jumeaux s'étaient chamaillés et que l'un d'eux avait été blessé... Myriam ruminait ces données depuis près d'un an, déjà, quand elle avait décidé qu'il n'y avait pas de raison pour qu'elle soit la seule.
    Certes, la démarche représentait un danger, mais elle était persuadée qu'elle avait, elle aussi, le droit d'être spéciale, comme sa soeur. Non, mieux que sa soeur. Au moins une fois.
    Ca avait été un calvaire. Jamais elle n'avait souffert ainsi, et elle avait commencé à soupçonner ceux qui lui avaient fourni la drogue d'avoir ajouté elle ne savait quoi pour rendre l'épreuve plus douloureuse encore. Lors de la dernière injection, elle était restée prostrée dans le noir, avec l'impression que son cerveau allait exploser tant plusieurs voix s'y cumulaient, créant un brouhaha insupportable qu'elle ne parvenait pas à faire taire. Et quand enfin tout s'était arrêté, une seule de ces voix avaient poursuivi son discours.

    *Tu vois bien qu'ils ont fait en sorte que tu souffres. C'est évident. Ils espéraient que tu n'irais pas jusqu'au bout, que tu n'arriverais pas à devenir spéciale... Mais tu as été plus forte. Vas-y, vois de quoi tu es capable maintenant.*

    Elle avait un instant espéré pouvoir faire la même chose que sa cadette. Mais non, elle avait croisé des gens dans la rue, qui se retournaient devant son air hagard, et n'avait pas pu capter la moindre pensée, rien d'autre que cette voix moqueuse qui commençait à suggérer qu'elle s'était faite avoir. Elle était rentrée, avait fermé toutes les ouvertures de peur qu'on vienne voir le résultat et qu'on la ridiculise encore... Et puis une personne était entrée dans la pièce, elle ne sait plus qui. Il ou elle avait voulu allumer la lumière, mais elle avait aussitôt fermé les yeux, le contraste trop violent lui martelant le crâne. Aussitôt la pièce avait été plongée dans la pénombre. L'ampoule sans doute... Pourtant, ils avaient eu beau les changer, rien n'y faisait. Et ce n'est que lorsque son mal de crâne disparut enfin, qu'elle se décida enfin à affronter la lumière du jour, que l'ampoule fonctionna de nouveau.

    *C'est ça* lui souffla alors cette étrange voix qui la fit chercher autour d'elle un instant. *La lumière. Vas-y, recommence !*

    Elle était restée sceptique. Mais elle avait essayé. Et ça avait marché. Une fois encore, sans s'inquiéter de l'interrupteur, elle avait éteint puis rallumé la pièce... Ca avait marché. Elle avait souffert, ils avaient sans doute veillé à en être sûrs, mais ça avait marché.

    *Tu es plus forte qu'ils ne le pensaient, tu vois ? Tu es comme elle maintenant... Vous avez des pouvoirs différents mais elle n'est plus la seule à les avoir.*

    Un vieux miroir ébréché trônait contre un des murs. Elle s'en approcha et observa son visage, inchangé. Elle en fut surprise. On lui avait dit qu'il y avait souvent des séquelles, mais qu'en était-il pour elle ? Elle s'était dévêtue pour vérifier la moindre parcelle de sa peau, sans rien y voir. Alors un étrange rire avait résonné dans la pièce. Ou dans sa tête ? Etait-ce la voix qui avait commencé à rire, ou était-ce elle qui l'avait entraînée ? Elle s'était rhabillée, avait joué à la poupée avec elle-même à défaut d'avoir encore ses anciens jouets, pour montrer à tous qu'elle avait changé, qu'elle n'était plus la même. Et elle était sortie : il fallait qu'elle le montre à Kath. Que pour une fois dans sa vie, sa petite soeur voit ce que c'était d'être moins bien qu'elle. Qu'on inverse les rôles, ne serait-ce qu'une fois. La voix voulait même qu'elle lui fasse subir tout ce que son pouvoir lui permettrait de lui infliger, mais malgré sa rancoeur, elle hésitait. C'était sa soeur tout de même, et elle n'avait jamais vraiment tenté de lui faire du mal. En tout cas pas aussi directement.



| | Hors-Jeu | |


  • Célébrité sur l'avatar : Milla Jovovitch

  • Comment avez-vous connu le forum ? : Double-compte d'Agalgisa Mancini

  • Une question ? : Euh... non pas cette fois ^^
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