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MessageSujet: Fiche   Fiche EmptyMer 9 Sep 2009 - 16:51


Fiche Cassie02a
Everything’s gonna be alright
* * *
The Prayer

I pray you'll be our eyes
And watch us where we go
And help us to be wise
In times when we don't know
Let this be our prayer
As we go our way

Lead us to a place
Guide us with your Grace
To a place where we'll be safe
La luce che tu dai

I pray we'll find your light
Nel cuore restera
And hold it in our hearts
A ricordarci che
When stars go out each night
L'eterna stella sei
Nella mia preghiera
Let this be our prayer
Quanta fede c'e
When shadows fill our day

Lead us to a place
Guide us with your grace
Give us faith so we'll be safe.

Sogniamo un mondo senza piu violenza
Un mondo di giustizia e di speranza
Ognuno dia la mano al suo vicino
Simbolo di pace e di fraternita

La forza che ci dai
We ask that life be kind
E'il desiderio che
And watch us from above
Ognuno trovi amore
We hope each soul will find
Intorno e dentro a se
Another soul to love
Let this be our prayer
Let this be our prayer
Just like every child
Just like every child

Needs to find a place,
Guide us with your grace
Give us faith so we'll be safe
E la fede che
Hai acceso in noi
Sento che ci salvera



.INFORMATIONS.
Nom : Evans

Prénom : Cassandra

Surnoms : Cassie, 'Maman'

Age : 35 ans

Lieu et date de naissance : New York, le 08/10/1973

Groupe : Going back to normal, we're working on : les scientifiques

  • Faiblesse -> Ce qui peut lui porter préjudice dans sa survie

      L’excès en tout est un défaut, paraît-il. Cassandra cherche tellement à toujours surprotéger tout le monde que ça peut en devenir étouffant pour les personnes qui l’entourent, qui sont au demeurant tout aussi capables qu’elle et assez grandes pour s’assumer seules, merci pour elles. Elle en fait certainement trop, mais n’en prend pas vraiment conscience, ou refuse de le faire, peut-être au fond. Ce qui fait aussi qu’à trop s’occuper des autres, elle s’oublie parfois un peu trop dans l’histoire, ne s’occupe pas vraiment d’elle-même, et de ce qui pourrait la rendre plus heureuse. Mais c’est ans doute aussi voulu quelque part : il lui est plus facile de s’occuper des autres que de faire face à ce qui la ronge.

      Car l’enferment et l’incertitude lui pèsent, et elle n’a qu’une hâte : voir le jour où ils pourront de nouveau sortir du laboratoire. Loin d’être suicidaire, elle est tout à fait consciente du fait qu’une sortie à l’heure actuelle est synonyme de mort assurée, mais elle est assez impatiente d’en arriver à ce jour qu’elle attend depuis le déluge. Parce qu’il répondra sans doute aussi à certaines questions qui la hantent depuis.

      Et puis, si on cherche bien, sa vie sentimentale est un désastre, aussi surprenant que cela puisse paraître. Elle s’occupe de tout le monde, tant et si bien qu’elle ne sait pas s’occuper d’elle-même et encore moins d’un couple. Et ses anciens petits amis en ont rapidement eu marre de devoir jongler entre son travail particulièrement accaparant et tous ses protégés...

  • Atout -> Ce qui peut l'aider à survivre.

      Surprotéger tout le monde ne veut pas dire tout leur passer, bien au contraire. Elle estime que donner les bons conseils et prévenir les mauvaises directions empruntées est tout aussi important pour l’épanouissement de chacun que l’écoute et le soutien qu’elle peut leur accorder. Ainsi, elle n'hésite pas à dénoncer ouvertement à ses collègues les erreurs qu’ils ont pu faire, car elle sait ce qu’elle fait, et décèle généralement ce qui passe sous le nez des autres.

      Ce qui fait sa force à ce niveau-là, c’est sans doute sa douceur et sa diplomatie, qui lui permettent de ne pas blesser ceux qu’elle reprend sur leurs actes. Le but, ça n’est pas de braquer les gens, juste de leur expliquer et de leur faire comprendre ce qui ne va pas.

.VOTRE VIE.
Caractère :
Un terme parfait pour la décrire ? « Mère poule ».
Aînée d’une famille cinq enfants, elle a toujours eu tendance à jouer à la « petite maman » avec ses frères et sœurs. Veiller à leur bien-être, réprimander une conduite inconvenante, s’interposer malgré son apparence fragile dès lors que l’un deux semblait en danger (ou aller chercher Dae en renfort si besoin), c’était son lot quotidien, et ça lui convenait tout à fait. Lorsqu’ils étaient enfants, elle chantait une berceuse différente à chacun pour les aider à trouver le sommeil, ou avait besoin de réconfort. Des airs qui passent encore souvent la barrière de ses lèvres lorsqu’elle travaille seule.

Outre ce côté maternel, c’est quelqu’un de calme en général, et il en faut beaucoup pour qu’elle en parvienne à s’énerver. Même lorsque ses protégés font des bêtises, elle explique calmement, mais fermement, les choses. Et elle est loin de la Cassandre mythique, qui avait beau prédire l’avenir, personne ne l’écoutait jamais : en général, ses conseils sont suivis. Peut-être justement parce que loin d’être assénés avec rigueur, elle est toujours douce avec les autres, persuadée que l’on fait bien mieux passer le message lorsqu’il est annoncé de façon diplomate qu’en essayant d’enfoncer l’information dans le crâne des plus réticents à coup de botte... C’est une oreille attentive pour tous ceux qui ressentent le besoin de se confier à quelqu’un, et elle fait toujours en sorte de se montrer disponible pour les autres. Sans doute à son propre détriment, bien qu’elle n’en montre rien.

Car elle ne sait pas vraiment s’occuper d’elle-même, et si elle est de bon conseil pour les autres, elle a bien du mal à les mettre en pratique pour elle. Et si on lui demandait ce qu’il lui faudrait pour être réellement heureuse, elle répondrait sans hésiter « que tout redevienne comme avant ». Sauf que, si elle pense être sincère ainsi, en creusant bien, il y a peut-être bien autre chose qui la rendrait heureuse. Parce que bien évidemment, son calme apparent n’est pas toujours le reflet de ses sentiments. Elle reste humaine, après tout, et, à ce titre, elle ressent bien des choses, pas forcément agréables selon les situations, qu’elle garde pour elle. « Petite maman » jusqu’au bout, elle tâche de se montrer forte et de ce fait, ne s’octroie aucune faiblesse. Petite, lorsqu’il lui arrivait de craquer, c’était son jumeau qui lui apportait son soutien. Aujourd’hui, elle a bien du mal à s’accorder le droit de faiblir.

Enfin, peut-être le second trait de caractère le plus représentatif de la jeune femme après son côté mère poule, c'est sans doute son côté passionné : elle aime son métier, et elle s'y donne à fond. Un peu trop peut-être, parfois, au détriment de sa santé, et de son entourage. Elle ne fait pas vraiment dans la demi-mesure, lorsqu'il s'agit de son travail, et ne s'arrête que lorsqu'elle a terminé - autant dire qu'elle a un certain nombre de nuits blanches à son actif...


Physique :
Tout dans son physique et dans son attitude respire la délicatesse, de sa voix cristalline à sa longue chevelure, de ses doigts graciles à sa taille fine. Tout comme ses frères et sœurs, elle a hérité de cheveux bruns de leurs deux parents, qu’elle a toujours laissés pousser, refusant catégoriquement qu’on l’approche avec une paire de ciseaux. Ses prunelles noisette laissent entrevoir toute la tendresse qu’elle peut avoir pour sa famille, et ceux qu’elle considère comme tels : les membres du labo notamment. Sa peau pâle contraste avec la teinte rosée de ses lèvres fines, et sa silhouette fragile et sa taille moyenne accentuent l’impression de petite poupée qui se dégage de son physique, de prime abord.

Pourtant, si on l’écoute parler, ou lorsqu’on croise son regard déterminé, presque farouche, lorsqu’il s’agit de défendre une théorie ou l’un de ses protégés, l’image de la faible femme à protéger s’efface aussitôt. C’est peut-être dû à son port altier et à sa démarche presque militaire, volontaire. Ou à ses tenues plus que sobres, aux couleurs neutres, de noir, de blanc, de brun, de beige, de gris ou de bleu marine. Exit les couleurs vives, qu’on ne retrouve absolument pas dans sa garde-robe, composée de tailleurs exclusivement, qu’elle a commencé à porter lors de ses études, remarquant qu’on lui accordait moins de crédit lorsqu’elle était quelque peu plus négligée, bien que son discours fût le même, et dont elle ne peut à présent plus se passer. Des souliers simples, presque tous identiques, mais de différentes teintes s’accordent avec ses tenues, et, summum de la coquetterie pour cette jeune femme, il arrive parfois de la voir porter quelques boucles d’oreille.

Le maquillage ne fait partie de son vocabulaire que lorsqu’il s’agit de faire disparaître sous le fond de teint ses cernes dues au manque de sommeil, et s’agrémente alors d’un simple trait de crayon noir et de brillant à lèvres posés en vitesse.
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MessageSujet: Re: Fiche   Fiche EmptyMer 9 Sep 2009 - 16:51

.VOTRE VIE.
(suite)
Histoire :
Alphée Evans, et Bérénice De la Richerie n'ont pas toujours eu une vie facile. Il était fils d'ouvrier, elle était fille d'une ancienne famille bourgeoise française, émigrée aux Etats-Unis quand M. l'ambassadeur Charles De la Richerie a été muté à l'ambassade de France à New York. Il travaillait le soir et le week-end pour payer ses études, elle était née avec une cuiller en argent dans la bouche, et ne comprenait pas encore que la fortune familiale avait depuis longtemps commencé à décliner, depuis la mort de grand-père Charles. Ils s'étaient rencontrés par hasard, le jour où la réalité avait frappé de plein fouet Bérénice quand ils avaient dû quitter leur confortable demeure de la banlieue pour emménager dans un appartement minuscule (à ses yeux, bien qu'il fût bien plus spacieux que nombre d'appartements des classes populaires), et qu'elle avait dû intégrer une école publique, elle qui n'avait jamais fréquenté que des écoles privées. Evidemment, elle n'avait pas tardé à être la cible de bien des railleries, comme se moquer des autres semblait être le sport le plus populaire du coin - et de la plupart des écoles en réalité. Il avait d'abord fait partie du lot, et elle avait encaissé la tête haute, jusqu'à ce qu'aux mots se joignent les actes et qu'il finisse par s'interposer. Parce que critiquer, se moquer, vanner, il était d'accord, il avait même été le premier à le faire quand la bourge était arrivée. Mais quand s'en était arrivé à du crêpage de chignon en règle, et que ça avait fini par devenir dangereux, il avait dit stop. Au détriment de sa propre réputation.

Il avait commencé à lui parler, alors, et à discuter avec elle. Il s'était rendu compte qu'elle n'était pas si hautaine qu'il l'avait tout d'abord cru, qu'elle se barricadait en fait plus qu'autre chose derrière ce masque snobinard. Puisqu'on l'avait d'emblée cataloguée, il avait bien fallu qu'elle se défende, et elle n'était pas du genre à rentrer dans le tas. De toute façon, seule contre tous, ça n'aurait servi à rien. Alors elle avait dressé le mur qu'elle pouvait, celui de la froideur et de l'indifférence, maigre rampart contre les assauts des autres.
Il avait aussi appris ce qu'elle aimait, les mythes antiques notamment, et l'avait entendue jouer du piano dans la salle de musique. Il ne connaissait de musique classique que quelques airs qu'on entendait partout, elle en jouait des dizaines, qu'il découvrait sous ses doigts agiles. Et il avait fini par l'inviter pour le bal de fin d'années, et lui avait donné son premier baiser ce soir-là.

Quatre ans plus tard, il avait intégré une société en plein essor, qui développait une branche électronique et recherchait de jeunes diplômés prometteurs comme lui, et elle continuait à étudier pour enseigner les lettres classiques et la musique. L'année suivante, elle lui disait oui devant un pasteur et un prêtre, au grand dam de ses parents qui avaient espéré la voir trouver un riche héritier pour compenser leur propre déchéance sociale. Moins d'un an plus tard, elle lui donnait des jumeaux, quelque peu prématurés, mais dont la survie n'était pas en danger, qu'ils prénommèrent d'un commun accord Cassandra et Daedalion, perpétuant les traditions familiales des noms... disons quelque peu étranges.

Les trois cadets arrivèrent assez tardivement, si bien que cinq, sept, et douze ans séparent Endymion, Flora et Gaïa de leurs aînés. Ce qui a sans doute contribué à ce que les plus grands deviennent rapidement les "seconds parents" des plus jeunes. Pour Cassie, ça a tout de suite été une évidence : elle était la plus grande, donc il était normal qu'elle s'occupe des petits, et son enfance s'est ainsi déroulée sans grand événement, entre les biberons, les devoirs (les siens ou ceux des autres), l'observation de maman au piano, et les veillées pour attendre le retour de papa, qui travaillait toujours trop. Petite fille curieuse de tout et très intelligente, éduquée dans la foi - bien que ses parents ne puissent jamais s'accorder sur le dogme, étant d'horizons quelque peu différents - elle a très vite montré des prédispositions pour la logique et les sciences, au détriment de tout ce qui lui semblait trop abstrait. Et si elle croit en Dieu, peut-être plus par habitude qu'autre chose, d'aucuns argueraient que ça ressemble davantage à de la superstition qu'à une réelle piété. Malgré son esprit cartésien, elle ne cherche pas plus d'explication de ce coté-là. Elle croit qu'il y a une entité quelque part, qui agit sur les hommes à sa manière, mais ça ne l'empêche pas de défendre et d'expliquer parfaitement la théorie de l'évolution.

Elle était la scientifique, donc, Dae, son jumeau était l'artiste, à qui maman a rapidement commencé à apprendre à jouer. Pourtant très différents, ils étaient inséparables. Presque fusionnels pendant les cinq années où ils étaient les seuls enfants de la maison, ils ont quelque peu transposé le couple parental entre eux, Dae l'artiste plus en retrait, mais prêt à défendre les petits par les poings s'il le fallait dans la cour de récréation, Cassie campant sans difficulté le rôle de la maman couvant ses petits. Il les protégeait, elle pansait les petits bobos, aux genoux ou à l'âme. Et de temps en temps, Cassie fredonnait dans son coin les mélodies qu'elle entendait, jouées par sa mère ou son jumeau, pour elle seule ou pour ses cadets lorsqu'ils avaient du mal à dormir. Endymion avait très rapidement montré des prédispositions pour le sport en général, et une préférence pour le tennis, et Flora l'a rapidement suivi dans les compétitions, de gymnastique pour sa part. Quant à Gaia, elle voulait écrire, et comme devenir écrivain n'était pas tout à fait la filière la plus évidente qui soit, elle a décidé de suivre des études journalistiques et linguistiques, pour allier l'utile à l'agréable, dit-elle.

C'est sans doute parce qu'elle est née si tard que Gaia est très vite devenue la petite protégée de Cassandra, et sans doute aussi sa plus grande fierté. Elle ne l'avait pas mise au monde, mais elle la voyait grandir et elle s'en occupait, si bien que c'était un peu comme si elle était aussi sa fille à elle. Et si s'occuper de tout ce petit monde ne l'empêchait pas de réussir avec brio ses études, c'était assez désastreux pour sa sociabilité. Elle appréciait tout le monde et se montrait agréable avec l'ensemble de ses camarades, mais ne se liait vraiment avec personne : elle avait déjà suffisamment à faire à la maison. Elle n'en était pas tout à fait consciente, cela dit, et une certaine nostalgie l'envahit parfois encore aujourd'hui, lorsqu'elle pense à ce qu'elle aurait pu faire, adolescente, et qu'elle n'a jamais connu. Elle a pourtant eu quelques petits amis, à l'époque, mais ils ont bien vite trouvé plus intéressant à faire ailleurs que d'attendre le bon vouloir de 'Maman Cassie' qui n'était pas dispo une fois sur deux pour cause de petite sœur à garder, ou de petit frère à emmener au tennis, ou ils ne savaient trop quoi d'autre d'ailleurs.

Elle ne dirait pas qu'elle n'en a pas souffert, bien sûr. Chaque rupture la blessait, comme elle s'attachait pourtant assez facilement à ceux qui trouvaient grâce à ses yeux, mais elle se répétait que s'ils ne pouvaient pas comprendre, c'était que ça n'étaient pas les bons, qu'elle finirait bien par trouver un jour. L'avenir ne lui donna pas vraiment raison. Ca n'empêcha qu'elle ne se découragea pas, et poursuivit ses études, décrochant son billet d'entrée, puis son diplôme à Harvard haut la main, parmi les majors de sa promo, avec pour spécialité la géologie et la climatologie. Et quand on lui offrit une place en or dans un laboratoire Londonien, elle hésita quelque peu, rechignant à abandonner sa famille, mais finit par accepter lorsque Gaïa et Dae joignirent leurs forces pour lui soutenir qu'elle devait le faire. Et ils avaient raison. Les cinq ans qu'elle avait passés à Londres - entre deux missions sur le terrain, en Europe ou en Amérique - sont sans doute parmi ses souvenirs les plus positifs et ont affirmé son goût pour les voyages. Elle a ensuite enseigné quelques temps à l'Université de San Francisco, dans le département de géophysique, mais s'est lassée de cette discipline : ce qui lui plaît, c'est la recherche, à n'en pas douter, et quand elle a pu obtenir un poste au laboratoire de New York, elle n'a pas hésité.

Son seul regret (avoué, elle ferme un peu facilement les yeux sur celui de ne sans doute jamais être mère à son tour) est sans doute de n'avoir pas vraiment pu faire le tour du monde, comme l'Afrique et l'Asie lui restent inconnues. Elle rêve de pouvoir poursuivre ses pérégrinations autour du globe terrestre : raison de plus pour que leur précieuse planète retrouve son aspect d'origine - ou tout au moins précédent - et elle compte bien tout faire pour y parvenir.


Avant le Déluge :
Pour une fois qu’elle avait pris le pli de se détendre, vraiment. C’était pourtant rare qu’elle s’occupe d’elle-même à vrai dire. Mais elle avait suivi le conseil de sa mère, il faut dire qu'elle ne comptait plus le nombre de fois où elle lui avait fait promettre de prendre une journée pour elle, pour se relaxer et se reposer un peu, et quand Gaïa s'était jointe à la demande maternelle, elle n'avait pas pu continuer à dire 'plus tard'. Pour le coup, elle avait prévu une journée spéciale détente... et rien de tel que le spa pour ça. Sauf que si tout avait bien commencé, et que pour la première fois depuis elle ne saurait plus trop dire combien de temps, elle se délassait vraiment, son portable avait sonné. Il fallait croire qu’elle n’était pas vraiment faite pour le calme. C’était celui du travail, d’urgence. Si on l’appelait, c’était que c’était vraiment important. Et l’employée qui venait le lui apporter le téléphone en question n’en menait pas large en lui expliquant ce qui se passait à l’extérieur. Elle était sortie en trombe, c’eût d’ailleurs été en emmenant le peignoir du spa si on ne l’avait pas arrêtée pour qu’elle se change en vitesse avant, et elle avait couru jusqu’au laboratoire, son portable personnel vissé à l’oreille, tentant de joindre chacun des membres de sa famille pour leur conseiller de rejoindre quelque abri le plus vite possible. Elle n’avait pas imaginé que ça eût pu aller aussi loin. Et ne sait d’ailleurs pas si les messages qu’elle a laissés sont parvenus jusqu’à chacun de leur destinataires... Tout ce qu'elle sait, c'est que lorsqu'elle est arrivée au labo, et qu'elle a vu les proportions que cela commençait à prendre, elle n'a pas hésité, et a alpagué tous ceux qu'elle pouvait, qui passaient près d'elle pour les faire entrer dans le bâtiment, espérant que les membres de sa famille fissent partie du lot... En vain.


Liens :
- Jake Stewart :
Ce sont les plus vieux ici, ils montrent l'exemple mais ils sont surtout très amis, puisqu'ils se connaissent depuis un bon moment et qu'ils s'apprécient. Ils tiennent les rênes ensembles pour que personnes ne cède à la panique dans le labo.
- Adam T. Scott : Cassandre disparaître vaguement le passé du jeune homme mais elle n'estime que ce n'est pas une raison pour avoir son attitude. Elle le remet souvent à sa place quand elle trouve qu'il dépasse les bornes et elle pense donc par conséquence qu'il ne l'apprécie pas beaucoup, mais c'est bien le contraire, Adam est content. Pourquoi? Seul lui le sait!
.YOU.
Célébrité Choisie : Kate Beckinsale
Pseudo : Y en a... plein... euh... gardons juste le prénom : Eva
Age : 28 ans (et donc y avait une « vieille proute » dans les admins ? Ahem... Rolling Eyes)
Fréquence de connexion : Presque tous les jours, mais il peut y avoir des exceptions... disons : (6/7}
Comment avez-vous connu le forum : Par Jake Stewart :015:
Comment trouvez-vous E N D E D W O R L D. : Plutôt bien, j’aime pas trop donner d’avis comme ça à froid (ah ah) mais le design est très chouette, c’est plutôt bien écrit (quelques coquilles parfois, mais on a vu bien plus déviant niveau orthographe) et un contexte assez sympathique... Pourvu que ça dure ^^
Quelque chose à ajouter ? : Euh... non... je commence pas déjà à faire ma chieuse, promis ^^
Code situé dans le règlement : Ok Par Euphrasie
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