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 Fiche TF

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Nathanael Keynes
Nathanael Keynes
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MessageSujet: Fiche TF   Fiche TF EmptyLun 2 Sep 2019 - 19:41

Avelynn Raphaelle Kaczmarek
ft. Emilie de Ravin
Prénom(s) : Avelynn Raphaelle Nom : Kaczmarek surnom : Lynn âge : 40 ans, l'horloge tourne... date et lieux de naissance : 10/10/1978 à Amsterdam Nationalité/Origines : Néerlandaise, d'origines polonaises Métier : Infirmière en service pédiatrique. Orientation sexuelle : Bisexuelle, pansexuelle, appelez ça comme vous voulez, moi je me contrefiche des gènes et des genres, je m'attache aux personnes. Groupe : workaholics Crédits : rosegrey pour l'avatar ; kyo pour la signature ; eck pour l'aesthetic ; et google a été mon ami pour le reste de l'icono
douce et ferme à la fois déterminée, voire entêtée altruiste généreuse enfantine par moments maternelle bonne vivante ouverte et tolérante sûre de moi
Anecdotes
1/ Je suis née quelques dizaines de secondes - comptons minutes, plutôt - après mon frère jumeau. On dit que le lien gémellaire est indéfectible et indescriptible... Et quelque part, j'aime à croire que c'est vrai. Reece, c'est ma moitié de moi, la personne que personne, pas même Dieu, ne peut me prendre. On n'a pas besoin de mots pour se comprendre, même quand on est pas du même avis. On sent quand l'autre ne va pas bien, comme un pressentiment diffus et inexplicable, et je sais que même à l'autre bout du monde, même en prison ou enfermé dans son Eglise, on est là l'un pour l'autre. Mais à vrai dire, c'est un peu le cas pour tous les membres de ma famille.
2/ Parce que ma famille, c'est sacré, quoi qu'on puisse croire avec ma bougeotte et mon caractère indépendant. Ma famille, c'est la pierre indispensable à mon équilibre. Après Reece, elle s'est agrandie avec la naissance de Norman, puis Clare. Les cinq branches de mon étoile personnelle, avec nos parents, qui ont toujours brillé dans mon coeur même dans les moments sombres de ma vie. Je n'ai jamais été du genre à leur demander de l'aide, mais je sais qu'ils sont toujours là pour moi, tout comme je le suis pour eux, et ça, c'est un bien inestimable.
3/ Très maternelle envers mes frères et sœur depuis toute petite, donc, je me suis naturellement tournée vers une carrière me plaçant au service des autres... Et particulièrement des enfants. Mes parents étant dans le milieu médical, c'était presque logique que je suive leurs traces. Mais si je n'étais pas mauvaise à l'école, il était évident pour moi que je ne passerais pas des années et des années sur les bancs de la fac. Une école d'infirmière a été le bon compromis, et je m'en suis plutôt bien sortie. Sans pourtant plancher comme une malade, parce que ça n'était... pas vraiment mon truc.
4/ J'ai toujours eu un caractère un peu duel, très indépendante voire rebelle d'un côté et à la fois maternelle et très attachée à ma famille. Je prenais mon rôle d'aînée très au sérieux, sans même vraiment m'en rendre compte. Mais ça ne m'a pas empêchée d'avoir ma période sauvage à l'adolescence et d'expérimenter tout un tas de choses... De jouer avec le feu aussi. Mon frère n'a pas eu que des fréquentations recommandables, et moi non plus. A cette époque, mes cheveux sont passés par toutes les couleurs, mon look punk ne plaisant pas beaucoup à nos parents, et j'ai testé un peu tout ce qui pouvait me tomber sous la main, de la cigarette au LSD en passant par la marijuana. Je n'ai jamais vraiment été accroc, cela dit, mes excès étant cantonnés à des soirées un peu trash, mais j'ai tout de même fini quelques nuits au poste de police, principalement pour tapage... rien de trop méchant en soi, et mon casier n'a pas été entaché de condamnations : j'étais une adolescente un peu turbulente voilà tout...
5/ Une adolescente un peu turbulente, mais plus responsable qu'on l'imaginait sans doute au premier regard. Je me suis prise d'affection pour le môme des voisins, que les bien-pensants d'à côté laissaient à la garde de nourrices visiblement peu consciencieuses... Ce môme est devenu mon Petit Prince, presque un frangin à part entière à mes yeux. Et ils pouvaient bien gueuler que c'était une honte de laisser leur fils à la garde d'une écervelée comme moi, moi je savais parfaitement qui était la moins responsable entre la nourrice et moi.
6/ Je me suis rendu compte à cette époque, aussi, que les courbes des femmes m'attiraient autant que les muscles masculins, et je ne me suis jamais vraiment posé la question du bien ou du mal à ce sujet. Sans doute parce que j'ai toujours eu (peut-être un peu trop) confiance en moi et que je ne faisais au demeurant de mal à personne en passant la nuit dans les draps d'une autre femme. La nuit, pas la vie, car même avec les années et un certain assagissement à la sortie de l'adolescence, je n'ai pas eu beaucoup d'histoire vraiment sérieuse. Il faut dire que lorsque quelqu'un cherche à m'enchaîner, j'ai plutôt tendance à chercher à m'évader qu'à accepter de rester enfermée... Et puis ma carrière et ma famille passaient avant tout, et passent toujours avant tout le reste. Ca ne plaît pas forcément à la personne qui cherche à partager ma vie.
7/ J'ai eu une histoire un peu plus sérieuse que les autres pourtant. Une personne qui a compté dans ma vie plus que toutes les autres. Une auprès de laquelle je me suis réveillée chaque matin pendant près de quatre ans. Et j'y ai cru, pendant un moment, à cette histoire, à sa durabilité. Mais nos routes ont fini par se séparer : je planifiais un premier voyage humanitaire au coeur de l'Asie, ça faisait un moment que ça me trottait dans la tête. Pour cette personne, l'objectif n'était pas le même, bien loin de là. Il/Elle voulait fonder une famille. Et si je ne pouvais pas ne pas comprendre son besoin, ce n'était pas le mien. Plus tard, peut-être. J'étais sincère en prononçant ces mots. Plus tard. Mais pas maintenant. Et quand il/elle m'a posé un ultimatum, ça a été la fin. C'était lui/elle ou ma valise. J'ai pris ma valise et je suis partie, l'air fier. Mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas pleuré une fois à l'abri de son regard.
8/ C'est mon Petit Prince qui m'a ramassée, ce jour-là. Ce môme que j'ai pratiquement élevé, c'est lui qui m'a consolée. Et ce qu'il s'est passé cette nuit-là, je n'en suis pas vraiment fière. Il ne le regrette peut-être pas, et personne d'autre que nous ne le saura jamais, mais je garde le sentiment d'avoir abusé de sa jeunesse, et du rôle presque d'autorité que je pouvais avoir sur lui... Ca n'avait rien de prémédité, ça s'est passé, c'est tout. Mais si c'était à refaire, sans doute que j'arrêterais tout, avant qu'on dérape...
9/ Mon second voyage humanitaire, je l'ai planifié des mois durant. J'y pensais déjà depuis des années. Et quand je suis partie, j'ai su que j'étais à ma place, là-bas, au milieu de ces enfants nécessitant des soins, comme je l'avais été en Inde. J'ai passé six mois magnifiques en Afrique, rudes autant physiquement que psychologiquement, parfois, ma peau de blonde anglaise appréciant assez difficilement le soleil africain et les situations difficiles éprouvant ma résistance mentale, mais je me suis sentie utile, réellement, et j'ai reçu tellement d'amour de la part de ces enfants, à chaque fois, que je ne regrette pas ma décision.
10/ Je ne regrette pas ma décision, mais je regrette que les choses se soient terminées ainsi. Je regrette que nous n'ayons plus pu nous entendre, et que cette relation à laquelle j'ai cru n'ait pas été la bonne. Je suis célibataire, de mon propre choix, et je ne reviens pas dessus. Mais parfois, la présence de quelqu'un me manque, et je ne parle pas de passions éphémères, évidemment. Et puis... Et puis je sais aussi que malgré mon visage enfantin, je n'ai plus vingt ans, et la question de la famille s'impose à mon esprit. Et une part de moi ne demande qu'à se poser et mettre au monde mon propre enfant. Mais je me sais incapable de rester mère au foyer, d'une part, je sais que je ressentirai toujours le besoin de m'occuper des autres, outre mon fils ou ma fille. Et je ne voudrais pas qu'il ou elle soit malheureux. Et puis... Et puis je ne me vois pas non plus avoir un enfant seule, je crois que c'est un désir qui va avec celui de rencontrer "la bonne personne". Sauf que j'ignore de qui il peut s'agir, ou si même elle existe...
11/ Au cours de ma carrière professionnelle, j'ai eu une affectation dans une pension, pendant quelques années. Infirmière scolaire. Je voulais travailler avec des enfants, ça semblait être une bonne option et pendant un temps, ça m'a parfaitement convenu. Auprès de ces jeunes loin de leurs familles, j'ai rapidement endossé le rôle de grande sœur, et soigné des peines de cœur autant que des maux de ventre ou des bleus et des bosses. Certains pensionnaires ont marqué ma mémoire plus que d'autres, que je reverrais sans doute avec plaisir, si le hasard les mettait sur ma route...
12/ On dira que j'ai subi un certain choc thermique, fin décembre, en revenant à Amsterdam après la fin de ma mission. Surprise ! Je n'avais pas prévenu ma famille, je devais revenir plus tard courant janvier à l'origine... Mais c'était Noël, et quand l'occasion s'est présentée de rentrer plus tôt, je n'ai pas vraiment hésité. J'ai encore du mal à me réhabituer aux températures hivernales aujourd'hui.
13/ Surprise again, l'organisation de mon retour a aussi consisté en une candidature en service pédiatrique à l'hôpital, avec donc pour objectif de rester à plus ou moins long terme. Parce que tous mes frères et sœur sont là et que si je ne le dis pas forcément ouvertement, si je ne regrette pas les choix que j'ai faits, ils m'ont manqués ces dernières années et je ressens le besoin d'être auprès d'eux. Ils sont ma famille, à défaut que je puisse en fonder une de ma chair et de mon sang...

En vrac...
j'ai une passion pour le chocolat noir, les oliebollen et le sernik de grand-mère • je ne vais nulle part sans mon appareil photo et je possède une collection d'albums photo soigneusement remplis et annotés, année par année d'existence • en bonne hollandaise, j'ai un penchant certain pour la bière et l'alcool de genièvre traditionnels, mais je ne suis pas vraiment très difficile, bien que je ne me livre plus aux excès de mes jeunes années - enfin plus que très rarement • je ne porte qu'un parfum, dont on m'a offert le flacon il y a quelques années. Miss Dior est la seule fragrance que je tolère sur ma peau, à l'exception de toute autre • mes fleurs préférées sont les lys • je parle couramment hollandais, anglais et français - avec un accent "charmant", une passion adolescente pour la France qui ne m'a jamais vraiment quittée -, mais je lis également parfaitement le latin et le grec ancien ; je n'ai que quelques notions de polonais en revanche, à mon grand dam • toute petite et fluette, on a tendance à croire que je suis plus fragile que ce n'est réellement le cas. Et ça m'agace parfois un peu...
Pseudo : ECK / Eastern Cookie / Ewa Âge : Mamie Ton arrivée ici : Je suis tombée de mon étoile ton avis : :owii: DC : not yet inventé/scénario/PV : inventé
par Moses. sur Bazzart
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